mars 2020
Résidence croisée : BTT - Balletto Teatro di Torino / Charleroi danse | Collaboration : Maïte Álvarez — Manfredi Perego

Parcours d’artistes entre la chorégraphie et les arts visuels, Motori di Ricerca est un projet interdisciplinaire sous la direction de la critique de danse Chiara Castellazzi.
Le(s) chorégraphe(s) et artiste visuelle sélectionnés se voient offrir la possibilité de se rencontrer pour donner une impulsion aux forces motrices de la recherche créative. De deux parcours artistiques et de deux périodes de résidence ciblées, découlent un moment d’ouverture et de discussion puis une présentation publique. Après une première période de résidence en Belgique à Charleroi danse - Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie - Bruxelles, les deux artistes internationaux perfectionnent leur recherche dans le cadre de la résidence soutenue par Piemonte dal Vivo à la Lavanderia a Vapore (du 14 au 23 avril) et présentent le fruit de leur travail commun dans la Serata Motori di Ricerca, pour la saison de danse du Balletto Teatro di Torino.
février 2020
[En résidence]
Accueil-studio à Charleroi danse du 17 au 28 février.
Danse & performance : Elena Carvajal, Estelle Czernichowski, Camille Dejean, Sophie Farza, Sarah Grandjean, Juliette Otter | Développement digital et sonore : Julien Cheyrezy.
décembre 2019
Module de recherche co-dirigé par Maïte Álvarez et Alice Ciresola à l’Académie royale des Beaux-Arts - École supérieure des Arts (ArBA-EsA).

Pendant trois mois, cette plateforme s’est proposé d’ouvrir un espace de recherche oblique avec un groupe de 15 étudiants de toutes disciplines confondues, allant du mouvement à l’écriture et à la voix, en traversant de multiples espaces "entre".
À la manière du chasseur, les étudiants ont été invités à réunir "investigation et poésie" en poursuivant leur intérêt artistique et en façonnant, par la pratique du corps, un terrain de recherche personnel et collectif. Ils ont été guidés dans la mise en place de leur objet de recherche et encouragés à réfléchir à leur méthodologie de création ; c’est-à-dire la manière avec laquelle poursuivre un intérêt artistique, à la manière de chasser une envie, une idée, un projet.
Invitation à rêver. À devenir l’objet de sa recherche et à s’ouvrir à de nouvelles possibilités d’être au monde. Se faire médiateur d’entre-les-mondes ; entre le rêve (l’idée) et la matière (la création). Développer une pensée à travers l’observation en suivant le mouvement des êtres et des choses qui nous entourent et réagir à ces mouvements avec justesse et sensibilité.
Artistes et chercheurs invités :
Simone Basani, artiste et performer | ORACLE - Caroline Daish, Justine Maxelon et Michel Yang - pratique du corps et de la voix | Marian del Valle, chorégraphe et chercheuse | Salomé Frémineur et Emmanuel Charreau, doctorants à l’ULB en philosophie politique.
Lieux d’accueil :
ArBa-Esa | Centre Tour à Plomb | Q-O2 | Contredanse - Centre de Documentation
décembre 2019
[En résidence]

Résidence « dramaturgie » à La Bellone du 25 novembre au 8 décembre.
Rediffusion du half & half closer proposant de revenir sur les préoccupations mises au travail à l’occasion de la résidence :
novembre 2018
Les 17 et 18 novembre le FRAC Provence-Alpes Côte d’Azur organisait la seconde édition de Mise en pli, salon de la microédition. Les éditions Dan’dé, Paraboles et Atlas de Nuit y ont été présentées et sont désormais disponibles à la vente. Pour connaître les prix et conditions, écrivez à : Maïte Álvarez

octobre 2018
Installation / Performance — Bruxelles 2018 —
Concept : Maïte Álvarez — Machines à dessiner : Marisol Godard Lopera
(Dessins Variables, Strasbourg 2013) — Avec : Camille Dejean, Leen Van Dommelen



Ce dispositif de machines à dessiner invite à mettre en jeu notre corps entier, pour réactiver le lien entre le mouvement et le tracé qu’il produit.
Cette forme archaïque de transcription graphique du mouvement restitue l’ancrage du geste, nous force à laisser trace. Elle permet de revenir aux sources primitives du traçage, à la forme, au difforme.
Dans une esthétique improbable qui assume l’imperfection, nous plongeons dans la mémoire des gestes simples et primaires qui forment les empreintes vibrantes de notre histoire.